Étudiant, Jean Rolin s'investit — tout comme son frère Olivier, de deux ans son aîné — dans la tendance maoïste de mai 68. Au début des années 1970, il intervient comme représentant de la Gauche prolétarienne à Saint-Nazaire
Journaliste, il a surtout effectué des reportages, entre autres pour Libération, Le Figaro, L'Événement du jeudi et GEO. Écrivain, il est l'auteur de récits de voyage, de chroniques, de souvenirs, de romans et de nouvelles.
Jean Rolin, écrivain voyageur, est un grand mélancolique, il décrit souvent des mondes, des sociétés et des solidarités qui disparaissent : Terminal Frigo en est sans doute l'exemple le plus beau et le plus flagrant.